Durant plusieurs mois, Annick Sterkendries est partie à la rencontre des réfugiés sur les lieux portuaires de rassemblement de migrants et migrateurs.
Par la métaphore de l’oiseau elle aborde le phénomène migratoire actuel, mais aussi de celui d’un passé proche .
Sans évincer la dureté de la situation, la poésie, le surréalisme de ses photographies et installations permettent une distanciation face à ce sujet difficile.
À l’opposé des images médiatiques violentes que l’on finit par ne plus voir, c’est avec force et sensibilité que ce travail nous interpelle.
Retrouvez la programmation de l’Espace Cosmopolis ici
Entrée libre.