Nouveautés dans le centre Ritimo !

18 décembre 2015

De nouvelles acquisitions ont été faites au sein du centre de ressource Ritimo de la MCM, découvrez une sélection ci-dessous :

Sables noirs : 20 semaines au Turkménistan

Carnet de voyage en bande dessinée. Auteur : TROUBS
Résumé : Coïncé au cœur de l’Asie Centrale, le Turkménistan est l’un des états les plus secrets au monde. Dirigée par le chef du parti unique Gurbanguly Berdimuhamedow, l’ancienne République soviétique a tissé des liens commerciaux avec la France. Et quelques liens culturels qui ont permis au dessinateur Troubs de se rendre dans ce mystérieux pays. Au fil de ses pérégrinations, l’auteur nous fait découvrir ce pays où des architectures impressionnantes s’élèvent au-dessus du désert de sables noirs.

Les clés de l’autonomie : Modèles et processus d’accompagnement

Auteurs : Stéphanie Desfontaines, ; Stéphane Montier
Destiné aux professionnels de l’accompagnement (managers, consultants, coaches, formateurs, etc.), ce guide permet de comprendre les mécanismes qui mènent à l’autonomie. Qu’est-ce que l’autonomie ? Comment la développer dans ses relations et ses actions, dans le cadre personnel comme professionnel ? En répondant à ces questions, l’ouvrage donne des clés pour apprendre à s’autonomiser et autonomiser ses collaborateurs, à partir de méthodes et d’exemples concrets.

Le fantôme arménien

Auteur : Laure MARCHAND ; Guillaume PERRIER ; Thomas AZUELOS
Bande dessinée documentaire accompagnée d’un historique, d’un encadré "Prononciation" et d’un glossaire
Résumé  : Les auteurs ont suivi le voyage de Christian Varoujan Artin, depuis Marseille (où 10 % des habitants ont des racines en Arménie) jusqu’en Turquie, sur les traces de sa famille. Militant, il anime le centre Aram pour la reconnaissance du génocide. Le voyage jusqu’à cet « Auschwitz à ciel ouvert » représentait donc un enjeu très fort pour lui et pour sa femme qui l’accompagnait. Mais ce n’était pas seulement un pèlerinage. Le fantôme arménien révèle aussi l’embarras actuel des Turcs d’aujourd’hui, enfants des tortionnaires qui ne « trouveront la paix et ne pourront construire une démocratie que s’ils font face à leur histoire. » Les massacres ont coûté la vie à près d’un million d’Arméniens, sous l’empire ottoman.